En Atelier et Galérie d'Audiffred

En Atelier et Galérie d'Audiffred
enero del 2015

lunes, 17 de junio de 2019

Un jeu d'échecs cubiste surréaliste.


Traducción: Français, anglais, italien, portugais et espagnol.

Titre: Un jeu d'échecs cubiste surréaliste.
Auteur: Fernando Audiffred © .

Le jeu d'échecs, une abstraction de batailles ou peut-être une vie simple ou compliquée. La concentration dans une partie d'échecs, dans un tournoi, après trois heures est tortueuse, il est difficile de maintenir cet état de concentration. Là vous pouvez voir le tempérament et la force physique et mentale du joueur, là vous pouvez apprécier la force de l'état émotionnel. Toute distraction est un facteur probable Checkmate. Ce moment de tension dans lequel l'adversaire manipule différentes armes et doit spécifier comment il va attaquer. Certains aiment affronter avec les chevaux, d'autres le mouvement rapide et inattendu des évêques en profondeur. Ainsi que ces barrières franches et puissantes des tours, dans les tours et leur duo comme une véritable force à défendre et à attaquer. D'autres soutiennent systématiquement le pouvoir majestueux de la Reyna, à certains plus le mouvement lent et mesuré des pions pour fermer les rangs et bloquer les entrées ou les sorties.
À ce moment, cela pourrait être exprimé comme un combat au corps à corps avec toutes les compétences et la ruse pour comprendre le mouvement de l'ennemi, comme la confrontation entre Enée et Turno. Un autre fatigué basé sur la patience et la prudence de Kutuzov contre Napoléon. Un autre plus fantastique et merveilleux raconté par Schehrazada. Comme celle de la princesse Schemsa contre le roi Kefid, avec le pouvoir de ses génies de détruire avec cette force énorme et mystérieuse de la magie. Un autre facteur psychologique est perdu dans la métaphysique et la propre défaite est créée, avec des mouvements basés sur la méchanceté et l'arrogance soutenus dans l'ignorance. Et une autre force inattendue et incroyable devant le pouvoir humain, celle qui a atteint son toit, qui ne l'observe pas et qui croit que c'est Dieu, ignorant sa condition et son destin. Et enfin l'inexorable Cronos, cette force invisible déterminée par le juge, qui tôt ou tard condamne la vérité.
Mais vous ne pouvez toujours pas oublier le contexte, le quotidien et la fatigue, il suffit de prendre une perspective, comme un point de fuite, dans la zone de choc et d’oublier d’autres entrées ou sorties, ou d’autres perspectives que beaucoup de personnes peuvent expliquer. sans perdre l’orientation et la stratégie initiale, puisqu’il peut y avoir confusion entre tant d’informations, la perte du jeu, l’inévitable Checkmate ou cette mystérieuse cravate.
Le jeu le plus important et le plus important est contre soi-même, une abstraction de la peur ou du pouvoir en soi. Cette lutte frontale avant l'ignorance, l'indulgence ou la naïveté. L'ingéniosité n'apparaît alors pas comme une force artificielle, non comme un jeu virtuel confondu avec le réel, mais comme une lutte des forces entre le bien et le mal en soi, le développement ou la destruction de soi, par des erreurs ou par coups. Avec cette Reyna qui est la volonté et cet ennemi qui est la paresse, les échecs comme une allégorie du succès ou de l'échec, là oui, dans ce jeu, il n'y a pas d'égalité. C'est gagné ou perdu. La manipulation des pions qui sont les actes quotidiens, la force des tours qui sont les vertus et la manipulation des évêques qui sont les opportunités et les chevaux qui sont constance et prudence. Tout pour sauver le roi qui est l'esprit. Dans ce "jeu" déterminé dans les troisième et quatrième dimensions, l'espace-temps. Amen du métaphysique, dans lequel notre esprit est ancré.Fernando Audiffred ©.


Title: A cubist surrealist chess game.
Author: Fernando Audiffred ©.

The game of chess, an abstraction of battles or perhaps simple or complicated life. The concentration in a game of chess, in a tournament, after three hours is tortuous, it is difficult to maintain that state of focus. There you can see the temper and the physical and mental strength of the player, there you can appreciate the strength of the emotional state. Any distraction is likely from Checkmate. That moment of tension in which the opponent handles different weapons and have to specify how he will attack. Some like to face with the horses, others the rapid and unexpected movement of the bishops to depth. As well as those frank and powerful barriers of the towers, in the towers and the duo of them as a real strength to defend and attack. Others systematically support the majestic power of the Reyna, to some more the slow and measured movement of the pawns to close ranks and block entrances or exits.
At that moment it could be expressed as hand-to-hand fighting with all the skills at hand and all the cunning to understand the movement of the enemy, like the confrontation between Aeneas and Shift. Another weary based on the patience and prudence of Kutuzov against Napoleon. Another more fantastic and wonderful told by Schehrazada. Like that of the princess Schemsa against King Kefid, with the power of his geniuses to destroy with that enormous and mysterious strength of the magical. Another the Psychological factor that is lost in the metaphysical and the own defeat is created, with movements based on the badness and arrogance supported in the ignorance. And another unexpected and incredible force before the human power, the one that has reached its roof, that does not observe it and that believes that it is God, ignoring its condition and its destiny. And finally the inexorable Cronos that invisible force that is determined in judge, that sooner or later, sentence with the truth.
But still you can not forget the context, the everyday and fatigue, just to take a perspective, as a vanishing point, in the area of ​​shock and forget other inputs or outputs, or other perspectives as many the mind can explain without losing the orientation and the initial strategy, since it can be that confusion of so much information the loss of the game, the inevitable Checkmate, or that mysterious tie.
The most significant and important game is against oneself, an abstraction of fear or power in itself. That frontal struggle before ignorance, indulgence or naivety. There then appears ingenuity not as an artificial force, not as a virtual game that is confused with the real, but as a struggle of forces between good and evil in oneself, the development or destruction of oneself, by mistakes or by hits. With that Reyna that is the will and that enemy that is the laziness, the chess like an allegory of the success or the failure, there yes, in that game there is no tie. It is won or lost. The handling of the pawns that are the daily actions, the strength of the towers that are the virtues and the handling of the bishops that are the opportunities and that of the horses that are the constancy and the prudence. Everything to save the king that is the spirit. In that "game" determined in the third and fourth dimension, space time. Amen of the metaphysical, in which our spirit is anchored.Fernando Audiffred ©.

Titre: un gioco di scacchi cubista surrealista.
Auteur: Fernando Audiffred ©.

Il gioco degli scacchi, un'astrazione di battaglie o forse vita semplice o complicata. La concentrazione in una partita a scacchi, in un torneo, dopo tre ore è tortuosa, è difficile mantenere quello stato di concentrazione. Lì puoi vedere il carattere e la forza fisica e mentale del giocatore, lì puoi apprezzare la forza dello stato emotivo. Ogni distrazione è probabilmente da scacco matto. Quel momento di tensione in cui l'avversario maneggia diverse armi e deve specificare come attaccherà. Ad alcuni piace affrontare i cavalli, altri il rapido e inaspettato movimento dei alfieri alla profondità. Così come quelle franca barriere e potenti delle torri, nei castelli e il duo di loro come una vera forza per difendere e attaccare. Altri sostengono sistematicamente il maestoso potere della Reyna, a un altro ancora il movimento lento e misurato delle pedine per chiudere i ranghi e bloccare le entrate o le uscite.
In quel momento potrebbe essere espresso come un combattimento corpo a corpo con tutte le abilità a portata di mano e tutta l'astuzia per capire il movimento del nemico, come il confronto tra Enea e Turno. Un altro stanco basato sulla pazienza e la prudenza di Kutuzov contro Napoleone. Un altro più fantastico e meraviglioso raccontato da Schehrazada. Come quella della principessa Schemsa contro il re Kefid, con il potere dei suoi geni di distruggere con quella forza enorme e misteriosa del magico. Un altro fattore psicologico che si perde nella metafisica e la propria sconfitta viene creata, con movimenti basati sulla cattiveria e arroganza supportati nell'ignoranza. E un'altra forza inaspettata e incredibile davanti alla potenza umana, quella che ha raggiunto il suo tetto, che non la osserva e che crede che sia Dio, ignorando la sua condizione e il suo destino. E infine l'inesorabile Cronos quella forza invisibile che è determinata in giudice, che prima o poi, condanna con la verità.
Ma ancora non puoi dimenticare il contesto, il quotidiano e la stanchezza, solo per prendere una prospettiva, come punto di fuga, nell'area dello shock e dimenticare altri input o output, o altre prospettive quante più la mente può spiegare senza perdere l'orientamento e la strategia iniziale, dal momento che può essere questa confusione di tante informazioni la perdita del gioco, l'inevitabile scacco matto o quella misteriosa cravatta.
Il gioco più significativo e importante è contro se stesso, un'astrazione di paura o potere in sé. Quella lotta frontale prima dell'ignoranza, dell'indulgenza o dell'ingenuità. Appare quindi l'ingenuità non come una forza artificiale, non come un gioco virtuale che è confuso con il reale, ma come una lotta di forze tra il bene e il male in se stessi, lo sviluppo o la distruzione di se stessi, dagli errori o dai colpi. Con quella Reyna che è la volontà e quel nemico che è la pigrizia, gli scacchi come un'allegoria del successo o del fallimento, lì sì, in quel gioco non c'è legame. È vinto o perso. La gestione delle pedine che sono le azioni quotidiane, la forza delle torri che sono le virtù e la gestione dei alfieri che sono le opportunità e quella dei cavalli che sono la costanza e la prudenza. Tutto per salvare il re che è lo spirito. In quel "gioco" determinato nella terza e quarta dimensione, nello spazio. Amen del metafisico, in cui il nostro spirito è ancorato.Fernando Audiffred ©.

Título: Um jogo de xadrez cubista surrealista.
Autor: Fernando Audiffred.©.

O jogo de xadrez, uma abstração de batalhas ou talvez vida simples ou complicada. A concentração em um jogo de xadrez, em um torneio, depois de três horas é tortuosa, é difícil manter esse estado de foco. Lá você pode ver o temperamento e a força física e mental do jogador, aí você pode apreciar a força do estado emocional. Qualquer distração é provável de xeque-mate. Esse momento de tensão em que o adversário lida com armas diferentes e tem que especificar como ele vai atacar. Alguns gostam de enfrentar cavalos, outros ao movimento rápido e inesperado de bispos à profundidade. Além dessas barreiras francas e poderosas das torres, nos torres e na dupla deles como uma verdadeira força para defender e atacar. Outros sistematicamente apóiam o poder majestoso do Reyna, e mais o movimento lento e medido dos peões para fechar fileiras e bloquear entradas ou saídas.
Naquela época, isso poderia ser expresso como uma luta corpo-a-corpo com todas as habilidades em mãos e toda a astúcia para entender o movimento do inimigo, como o confronto entre Enéias e Troca. Outro cansaço baseado na paciência e prudência de Kutuzov contra Napoleão. Outra mais fantástica e maravilhosa contada por Schehrazada. Assim como o da princesa  Schemsa contra o Rei Kefid, com o poder de seus gênios para destruir com essa força enorme e misteriosa do mágico. Outro fator psicológico que se perde na metafísica e a própria derrota é criada, com movimentos baseados no mal e na arrogância apoiados pela ignorância. E outra força inesperada e inacreditável diante do poder humano, aquele que atingiu seu teto, que não o observa e que acredita que é Deus, ignorando sua condição e seu destino. E finalmente o inexorável Cronos, aquela força invisível que é determinada no juiz, que mais cedo ou mais tarde, sentencia com a verdade.
Mas ainda assim você não pode esquecer o contexto, o cotidiano e a fadiga, apenas para ter uma perspectiva, como um ponto de fuga, na área do choque e esquecer outras entradas ou saídas ou outras perspectivas que a mente possa explicar sem perder. A orientação e a estratégia inicial, já que a confusão de tanta informação pode ser a perda do jogo, o inevitável xeque-mate, ou aquele misterioso empate.
O jogo mais importante e importante é contra si mesmo, uma abstração do medo ou poder em si. Essa luta frontal diante da ignorância, indulgência ou ingenuidade. Então a ingenuidade aparece não como uma força artificial, não como um jogo virtual que é confundido com o real, mas como uma luta de forças entre o bem e o mal em si mesmo, o desenvolvimento ou destruição de si mesmo, por erros ou por golpes. Com isso Reyna, que é a vontade e o inimigo que é a preguiça, o xadrez como uma alegoria do sucesso ou do fracasso, aí sim, nesse jogo não há empate. Está ganho ou perdido. O manejo dos peões que são as ações cotidianas, a força das torres que são as virtudes e a gestão dos bispos que são as oportunidades e os cavalos que são a constância e a prudência. Tudo para salvar o Rei que é o espírito. Nesse "jogo" determinado na terceira e quarta dimensão, espaço-tempo. Amém do metafísico, no qual nosso espírito está ancorado.Fernando Audiffred ©.


Titulo: Un juego de ajedrez cubista surrealista.
Autor: Fernando Audiffred © .

La partida de ajedrez, una abstracción de las batallas o quizás de la vida simple o complicada. La concentración en una partida de ajedrez , en un torneo, después de tres horas es tortuosa, es difícil mantener ese estado de enfoque. Ahí se aprecia el temple y la fortaleza física y mental del jugador, ahí se aprecia la fortaleza del estado emocional. Cualquier distracción es un probable de Jaque Mate. Ese momento de tensión en que el contrincante maneja armas diferentes y tiene que precisar cómo atacará. A unos les gusta enfrentar con los caballos,  a  otros el  movimiento rápido e inesperado de los alfiles a profundidad. Así como esas francas  y poderosas barreras de las torres, en los enroques y el duo de ellas como una verdadera fortaleza para defender y atacar.  Otros apoyar sitematicamente el poder majestuoso de la Reyna, a algunos más el movimiento lento y acompasado de los peones para cerrar filas y bloquear entradas o salidas.
En ese momento que podría expresarse como la lucha cuerpo a cuerpo con todas las habilidades a mano y toda la astucia para entender el movimiento del enemigo,  como el enfrentamiento entre Eneas y Turno. Otro desgastante basado en la paciencia y prudencia de Kutuzov contra Napoleón. Otro más fantástico y maravilloso contado por Schehrazada. Como el de la Princesa Schemsa contra el Rey Kefid,  con el poder de sus genios para destruir con esa fuerza descomunal y misteriosa de lo mágico. Otra el factor Psicológico que se pierde en lo metafísico y se crea la propia derrota, con movimientos basados en la maldad y soberbia soportada en la ignorancia. Y otra fuerza inesperada  e increíble ante el poder humano, el que ha llegado a su techo, que no lo observa y que cree que es Dios, desconociendo su condición y su destino. Y por último el inexorable Cronos esa fuerza invisible que se determina en juez, que tarde o temprano, sentencia  con la verdad. 
Pero aún así no se puede olvidar el contexto, lo cotidiano  y el cansancio, para tan sólo tomar una perspectiva, como punto de fuga, en la zona de choque y olvidarse  de otras entradas o salidas, u otras perspectivas como tantas la mente pueda explicar sin perder la orientación y la estrategia inicial, ya  que puede ser ese desconcierto de tanta información la pérdida de la partida, el Jaque Mate inevitable, o bien ese misterioso empate.
La partida más significativa e importante, es contra uno mismo, una abstracción del miedo o el poder en si mismo. Esa lucha frontal ante la ignorancia, la indulgencia o la ingenuidad. Ahí aparece entonces el ingenio no como una fuerza artificial, no como una partida virtual que se confunde con lo real, sino como una lucha de fuerzas entre el bien y el mal en uno mismo, el desarrollo o la destrucción de uno mismo, por errores o por aciertos. Con esa Reyna que es la voluntad y ese enemigo que es la pereza, el ajedrez como una alegoría del éxito o el fracaso, ahí sí, en esa partida no hay empate. Se gana o se pierde. El manejo de los peones que son las acciones cotidianas, la fortaleza de las torres que son las virtudes  y el manejo de los alfiles que son las oportunidades y el de los caballos que son la constancia y la prudencia.Todo para salvar al rey que es el espíritu. En ese "juego" determinado en la tercera y cuarta dimensión, el espacio tiempo. Amén de lo metafísico, en que esta anclado nuestro espíritu. Fernando Audiffred ©.











martes, 4 de junio de 2019

"Groupe Eskaton" Claude Bernard


Traducción: Français, anglais, italien et espagnol.

Titre: "Groupe Eskaton" Claude Bernardi (fragment)
Auteur: Fernando Audiffred © .


Dans un monde où les perceptions comptent plus que les sentiments, ce qui suffit pour interagir. Partir du champ virtuel qui conditionne le visuel avec des moyens électroniques et une musique qui, comme un oiseau vole, est désorienté dans la recherche de la "réalité moderne", comme solution à une équation où toutes les variables sont significatives et toutes dépendantes . Il n'y a pas d'ordre possible qui les régule, seule l'intuition s'approche de la compréhension ... avec des notes vibrantes d'agitation et de mystère.
Fernando Audiffred © .

Title: "Eskaton Group" Claude Bernardi (fragment)
Author: Fernando Audiffred ©.


In a world where perceptions more than feelings count, which is enough to interact. Starting from the virtual field that conditions the visual with electronic means and a music that like a bird flies disoriented in the search of "modern reality", as finding the solution of an equation where all the variables are significant and all are dependent on each other . There is no possible order that regulates them, only intuition approaches the understanding ... with vibrant notes of restlessness and mystery. Fernando Audiffred © .


Titolo: "Gruppo Eskaton" Claude Bernardi (frammento)
Autore: Fernando Audiffred ©.


In un mondo in cui contano le percezioni più dei sentimenti, il che è sufficiente per interagire. Partendo dal campo virtuale che condiziona la visione con mezzi elettronici e una musica che come un uccello vola disorientata nella ricerca della "realtà moderna", come trovare la soluzione di un'equazione in cui tutte le variabili sono significative e tutte sono dipendenti l'una dall'altra . Non esiste un ordine che li regola, solo l'intuizione si avvicina alla comprensione ... con note vibranti di irrequietezza e mistero. Fernando Audiffred © .


Título: "Eskaton Group" Claude Bernardi (fragmento)
Autor: Fernando Audiffred ©.


En un mundo en el que cuentan más las percepciones que las sensaciones, lo cual es suficiente para interactuar. Partiendo del campo virtual que condiciona lo visual con medios electrónicos y una música que como un ave vuela desorientada en la búsqueda de la "realidad moderna", como encontrando la solución de una ecuación en donde todas las variables son significativas y todas son dependientes entre si. No hay orden posible que las regule, solo la intuición se aproxima al entendimiento...con notas vibrantes de inquietud y misterio. Fernando Audiffred©..

sábado, 1 de junio de 2019

Psyché.(Un portrait rationnel).

Traduction: Français, anglais, italien et espagnol.

Titre : Psyché.(Un portrait rationnel).
Technique : Sanguine, sépia et graphite sur papier.
Author: Fernando Audiffred©.


Une série d'histoires introduites dans l'intrigue du roman confère au texte une structure finement tissée. L'un des plus célèbres est l'histoire d'Amor y Psique, Lisez Apuleed.

C’est ainsi qu’une histoire fantastique est merveilleuse se met en place.
Dans ce cas, Psyché, la plus belle de trois soeurs, représentée par une jeune princesse et une belle femme et Eros par un jeune magnifique (Dieu de l'amour).
Quand celui-ci a rencontré Psyché, il a connu l'amour, c’est-à-dire à lui même. Elle s'est endormie, parce qu'elle a trouvé en lui la confiance, et Eros l'a élevée à ses hauteurs en s’envolant, en s’appropriant d’elle, comme un signe de passion par sa beauté. Entre temps, il oublie de la promesse faite à sa mère de détruire et dégrader Psyché.
Parmi les allégories fantastiques de la Mythologie grecque, peut-être l'une des plus belles dans toute l'étendue de la parole est celle-là de Psyché et Eros. Comprise cette étendue, comme celle que l’on comprend en partant du physique représenté par Aphrodite, l'intellectualité par Psyché et la spiritualité par Eros.
Néanmoins, le plus fantastique et réel est à la fois la transition du développement de l'esprit, de Psyché, en passant par quelque chose de purement physique - humain, de la naïveté de l'enfance à la jeunesse, en connaissant cette période expérimentale, où l'opportunité se présente d'avoir confiance en l’amour, et une fois opposé celui-ci, d'entrer à l'étape rationnelle, de l'évaluer, par la perte de confiance en Eros et la prise de conscience en cet état précieux perdu, puisque par l'influence de l'envie des soeurs, Psyché se méfie d'Eros.
Cependant, elle passe à l'étape de réflexion et lutte pour récupérer l'amour perd,u pour maintenir l'union d'esprit et âme (Psyché avec Eros). Une fois cette épreuve surpassée, avec la légitimation des dieux, on réalise le mariage d’une mortelle et d'un dieu pour rendre cette union éternelle.
Elle, représentée par une jeune belle et inteligente, digne de l'amour d'Eros, qui par sa beauté intellectuelle est à la hauteur d'Eros qui représente la beauté spirituelle, le plus sublime. Psyché, qui porte trois bijoux faits avec éléments abstraits, produits de la réflexion, la rationnalité, qui est le cadre pour la résolution de problèmes. Avec le repère cartésien , est cette connaissance moderne, qui précise, dimensionne et modèle la problématique. En partant de l' abstraction des variables, qui permet de réfléchir à l' objet et cherche à concrétiser sa connaissance pour un maniement utile. Pour que, par la suite, au moyen de l'exercice et l'expérience, la sagesse intuitive soit obtenue, même si cela semblerait être une intervention simple et facile, un critère simple, une solution simple.
Ainsi nous pouvons classer les intelligences : Entendue l'intelligence, comme la réaction systématique inculpée d'un élément, en obtenant la meilleure et plus d'asertive possibilité de solution, devant l'interaction avec l'environnement.
L'intelligence corporelle (Le niveau assertif des décisions que le corps prend devant le virus les bactéries, les phénomènes de la chaleur ambiante, de froid, de bruit, de lumière, d'odeurs, etc..
L'intelligence mentale (La capacité appropriée à la prise de décisions qui résout la psyché devant le milieu naturel ou artificiel et la meilleure manière de subsister et d'être intégré.
Dans le cas de l'intelligence mentale avec Psyché, en précisant la condition de chaque bijou mentionné antérieurement qui permet de montrer les éléments nécessaires pour le développement mental à savoir : La conscience (un instinct, une intuition et une sagesse), représentée dans le collier qui est près du coeur, la prudence (une connaissance et un choix) représentée par les boucles d¦oreille, qui se trouvent près des oreilles et la persévérance (une force et une orientation), représentée par une couronne, qui est placée sur la tête.
Dans le cas de l'intelligence spirituelle, la meilleure manière d'agir du moi pour évaluer, pour recevoir et pour répondre à l'essence des êtres humains,leurs sentiments et leurs émotions, en partant des valeurs essentielles comme la bonté, l'amour, la loyauté, l'amitié, la miséricorde, etc.., aussi comme la force ou la faiblesse de ces valeurs comme l'amitié, la loyauté, la dignité. Qui peuvent sembler subjectifs pour certains qui pensent que l'essence n'existe pas ou n'est pas utile, mais ce n'est jamais simplement une question de morale , ce ce qui enrichit ou manque à l'esprit humain. C’est comme le parfum aux fleurs ou l’odeur fetide qui peut les accompagner, seulement cette intelligence reste pour choisir. Dans le contexte de l'humain et du divin, cette histoire magnifique se développe. Un être humain comme Psyché, grâce à sa beauté intellectuelle est attirante et par conséquent appréciée par Eros, envoyé pour détruire cet "esprit" en partie naïve et déplaisante devant la réalité, évidemment par sa jeunesse, mais qu'Eros reconnaît comme un être précieux et non seulement cela, à part de ne pas accomplir la commission de sa mère pour la détruire, en "reconnaissant" sa valeu, il a elle protège, et par conséquent lui offre sa confiance
Pourtant, devant le manque de prudence de Psyché, qui part du manque de connaissance et de réflexion, elle est trompée par les soeurs motivées par la cupidité qui se reflète dans l'envie, et en se montrant cela dans le mensonge. Mais elle réagit et prend conscience du fait et cherche à récupérer l'amour perdu par la persévérance et la prudence.
Eros la pardonne et demande aux Dieux la légitimité de son amour par le mariage.
L’amour triomphera tant qu’il y aura de la bienveillance et de l’intélligence. Les méchants sont donc défait par leur propre ignorence.
En conséquence, on entend qu'il triomphe, l'Amour (la beauté spirituelle); le plus beau, plus fort, plus sublime, plus parfait, sur Psyché (la beauté intellectuelle) et la protège de la haine, de l'envie, du plus misérable et affreux de l'homme, comme ils peuvent être dans ce cas, les sentiments négatifs. Par son attrait, la beauté intellectuelle, elle a captivé la beauté spirituelle et toutes les deux, assemblées, s'élèvent au plus sublime, en s'écartant du malheur et les défauts de la matérialité, pour vivre dans l'éternité.Fernando Audiffred©.



Title: Psyche (A rational portrait).
Technique: Sanguine, cuttlefish and graphite on paper.
Author: Fernando Audiffred ©.


A series of stories introduced in the plot of the novel give the text a finely woven structure. One of the most famous is the story of Amor y Psique, Ver Apuleyo.
This is how a fantastic story is wonderful.
In this case, Psyche, the most beautiful of the three sisters, represented by a young princess and a beautiful woman and Eros by a magnificent young man (God of love).
When he met Psyche, he knew love, that is, himself. She fell asleep, because she found confidence in him, and Eros lifted her to their heights by flying, appropriating her, as a sign of passion for her beauty. Meanwhile, he forgets the promise made to his mother to destroy and degrade Psyche.
Among the fantastic allegories of Greek mythology, perhaps one of the most beautiful in all the length of the discourse is that of Psyche and Eros. Understand this extension, as we understand from the physical represented by Aphrodite, intellectuality by Psyche and spirituality by Eros.

However, the most fantastic and real thing is, at the same time, the transition from the development of the mind, from Psyche, through something purely physical - human, from the naivety of childhood to youth, knowing this experimental period. , where the opportunity to have confidence in love arises, and once it is opposed, enter the rational stage, evaluate it, for the loss of confidence in Eros and awakening. in this precious lost state, since by the influence of the envy of the sisters, Psyche mistrusts Eros.
However, she goes to the stage of reflection and struggles to recover the lost love, or to maintain the union of spirit and soul (Psyche with Eros). Once this test is over, with the legitimation of the gods, we realize the marriage of a mortal and a god to make this union eternal.
She, represented by a beautiful and intelligent young woman, worthy of the love of Eros, who for her intellectual beauty is at the height of Eros, which represents the spiritual beauty, the most sublime. Psyche, which uses three jewels made with abstract elements, products of reflection, rationality, which is the framework for solving problems. With the Cartesian reference, it is this modern knowledge that specifies, dimensions and models the problem. Starting from the abstraction of the variables, which makes it possible to think about the object and try to concretize its knowledge for a useful management. So, eventually, through exercise and experience, intuitive wisdom will be obtained, even if that seems to be a simple and easy intervention, a simple criterion, a simple solution.
Thus we can classify the intelligences: we understand the intelligence, as the accused systematic reaction of an element, obtaining the best and most assertive possibility of solution, before the interaction with the environment.
Body intelligence (The assertive level of decisions that the body makes against the bacteria of the virus, the phenomena of environmental heat, cold, noise, light, smells, etc.)
Mental intelligence (the adequate capacity for decision making that solves the psyche in front of the natural or artificial environment and the best way to subsist and integrate.
In the case of mental intelligence with Psyche, specifying the condition of each jewel mentioned above that allows to show the necessary elements for the mental development to know: the conscience (an instinct, an intuition and a wisdom), represented in the necklace that is close to the heart, prudence (a knowledge and a choice) represented by the earrings, which are near the ears and perseverance (a strength and an orientation), represented by a crown, which is placed on the head.
In the case of spiritual intelligence, the best way to act of the self to evaluate, receive and respond to the essence of human beings, their feelings and emotions, based on essential values ​​such as kindness, love, loyalty, friendship, mercy, etc., as well as the strength or weakness of these values ​​such as friendship, loyalty, dignity. What may seem subjective to some who think that essence does not exist or is not useful, but is never simply a matter of morality, which enriches or impoverishes the human spirit. It's like the perfume with flowers or the foul smell that can accompany them, only this intelligence remains to choose. In the context of the human and the divine, this magnificent story unfolds. A human being like Psyche, thanks to his intellectual beauty is attractive and, therefore, appreciated by Eros, sent to destroy this "spirit" partly naive and unpleasant to reality, obviously for his youth, but Eros recognizes him as a be beautiful and not only that, apart from not fulfilling his mother's commission to destroy him, by "recognizing" his value, he protected him and, therefore, offers him his confidence.
However, faced with the lack of prudence of Psyche, which starts from the lack of knowledge and reflection, is deceived by the sisters motivated by greed, which is reflected in envy and by exposing themselves to lies. But she reacts and realizes the fact and seeks to recover the lost love through perseverance and prudence.
Eros forgives her and asks the gods for the legitimacy of her love through marriage.
Love will triumph as long as there is benevolence and intelligence. The wicked are thus defeated by their own ignorance.
As a result, we hear that He triumphs, Love (spiritual beauty); the most beautiful, the strongest, the most sublime, the most perfect, in Psyche (intellectual beauty) and protects it from hatred, envy, the most miserable and fearsome of man, as it may be in this case, negative feelings. Through its attraction, intellectual beauty, it has captivated the spiritual beauty and both, reunited, rise to the most sublime, moving away from the misfortune and the defects of the materiality, to live in eternity. Fernando Audiffred ©.



Titolo: Psiche (un ritratto razionale).
Tecnica: Sanguigna, seppia e grafite su carta.
Autore: Fernando Audiffred ©.


Una serie di storie introdotte nella trama del romanzo conferiscono al testo una struttura finemente intrecciata. Uno dei più famosi è la storia di Amor y Psique, Ver Apuleyo.
Ecco come una storia fantastica è meravigliosa.
In questo caso, Psiche, la più bella delle tre sorelle, rappresentata da una giovane principessa e una bella donna ed Eros da un magnifico giovane (Dio dell'amore).
Quando incontrò Psiche, conosceva l'amore, cioè se stesso. Si addormentò, perché trovò fiducia in lui, e Eros la sollevò verso l'alto, volando, appropriandosene, come un segno di passione per la sua bellezza. Nel frattempo, dimentica la promessa fatta a sua madre di distruggere e degradare Psiche.

Tra le fantastiche allegorie della mitologia greca, forse una delle più belle di tutta la lunghezza del discorso è quella di Psiche ed Eros. Comprendi questa estensione, come capiamo dal fisico rappresentato da Afrodite, dall'intelligenza di Psiche e dalla spiritualità di Eros.
Tuttavia, la cosa più fantastica e reale è, allo stesso tempo, il passaggio dallo sviluppo della mente, da Psiche, attraverso qualcosa di puramente fisico - umano, dall'ingenuità dell'infanzia alla giovinezza, conoscendo questo periodo sperimentale. , dove sorge l'opportunità di avere fiducia nell'amore, e una volta che si oppone, entra nello stadio razionale, valutalo, per la perdita di fiducia nell'eros e nel risveglio. in questo prezioso stato perduto, poiché per l'influenza dell'invidia delle sorelle, Psiche diffida di Eros.
Tuttavia, va al livello di riflessione e lotta per recuperare l'amore perduto o per mantenere l'unione di spirito e anima (Psiche con Eros). Una volta finita questa prova, con la legittimazione degli dei, realizziamo il matrimonio di un mortale e di un dio per rendere eterna questa unione.
Lei, rappresentata da una giovane donna bella e intelligente, degna dell'amore di Eros, che per la sua bellezza intellettuale è al culmine di Eros, che rappresenta la bellezza spirituale, la più sublime. Psiche, che usa tre gioielli fatti con elementi astratti, prodotti di riflessione, razionalità, che è la struttura per risolvere i problemi. Con il riferimento cartesiano, è questa conoscenza moderna che specifica, dimensiona e modella il problema. Partendo dall'astrazione delle variabili, che permette di pensare all'oggetto e cercare di concretizzare le sue conoscenze per una gestione utile. Quindi, alla fine, attraverso l'esercizio e l'esperienza, si otterrà la saggezza intuitiva, anche se questo sembra essere un intervento semplice e facile, un criterio semplice, una soluzione semplice.
Quindi possiamo classificare le intelligenze: comprendiamo l'intelligenza, come la reazione sistematica accusata di un elemento, ottenendo la migliore e più assertiva possibilità di soluzione, prima dell'interazione con l'ambiente.
Intelligenza corporea (il livello decisivo delle decisioni che il corpo fa contro i batteri del virus, i fenomeni di calore ambientale, freddo, rumore, luce, odori, ecc.)
Intelligenza mentale (la capacità adeguata per il processo decisionale che risolve la psiche di fronte all'ambiente naturale o artificiale e il modo migliore di sussistere e integrarsi.
Nel caso dell'intelligenza mentale con Psiche, specificando la condizione di ogni gioiello sopra menzionato che permette di mostrare gli elementi necessari per lo sviluppo mentale per conoscere: la coscienza (un istinto, un'intuizione e una saggezza), rappresentati nella collana che è vicino al cuore, prudenza (una conoscenza e una scelta) rappresentati dagli orecchini, che sono vicino alle orecchie e la perseveranza (una forza e un orientamento), rappresentato da una corona, che è posto sulla testa.

Nel caso dell'intelligenza spirituale, il miglior modo di agire del sé per valutare, ricevere e rispondere all'essenza degli esseri umani, i loro sentimenti ed emozioni, sulla base di valori essenziali come gentilezza, amore, lealtà, amicizia, misericordia, ecc., così come la forza o la debolezza di questi valori come l'amicizia, la lealtà, la dignità. Ciò che può sembrare soggettivo per alcuni che pensano che l'essenza non esiste o non è utile, ma non è mai semplicemente una questione di moralità, che arricchisce o impoverisce lo spirito umano. È come il profumo con i fiori o il cattivo odore che può accompagnarli, solo questa intelligenza rimane da scegliere. Nel contesto dell'umano e del divino, questa magnifica storia si svolge. Un essere umano come Psiche, grazie alla sua bellezza intellettuale è attraente e, quindi, apprezzato da Eros, inviato a distruggere questo "spirito" in parte ingenuo e sgradevole alla realtà, ovviamente per la sua giovinezza, ma Eros lo riconosce come un essere bello e non solo che, oltre a non adempiere alla commissione della madre di distruggerlo, "riconoscendo" il suo valore, lui la protegge, ed è per questo che lei gli offre la sua fiducia.
Tuttavia, data la mancanza di prudenza di Psiche, che parte dalla mancanza di conoscenza e riflessione, è ingannato dalle sorelle motivati ​​da avidità, che si riflette su invidia ed esposto le bugie. Ma lei reagisce e si rende conto del fatto e cerca di recuperare l'amore perduto con la perseveranza e prudenza.
Eros perdona e chiede al dèi legittimità del suo amore attraverso il matrimonio.
L'amore trionferà finché c'è benevolenza e intelligenza. I malvagi sono così sconfitti dalla loro stessa ignoranza.
Di conseguenza, sentiamo che Egli trionfa, Amore (bellezza spirituale); il più bello, più forte, più sublime, più perfetta, nella psiche (bellezza intellettuale) e lo protegge da odio, invidia, l'uomo più miserabile e timorosa, come può essere in questo caso, i sentimenti negativi. Attraverso la sua attrazione, bellezza intellettuale, ha conquistato la bellezza spirituale e due insieme, sorgono al sublime, lontano dalle disgrazie e le carenze di materialità, a vivere in eterno. Fernando Audiffred ©.

Título: Psique (Un retrato racional).
Técnica: Sanguina, sepia y grafito sobre papel.
Autor: Fernando Audiffred ©.


Una serie de historias introducidas en la trama de la novela le dan al texto una estructura finamente tejida. Una de las más famosas, es la historia de Amor y Psique, Ver Apuleyo.
Así es como una fantástica historia es maravillosa.
En este caso, Psique, la más bella de las tres hermanas, representada por una joven princesa y una bella mujer y Eros por un magnífico joven (Dios del amor).
Cuando conoció a Psique, conoció el amor, es decir, a sí mismo. Se quedó dormida, porque encontró confianza en él, y Eros la elevó a sus alturas volando, apropiándose de ella, como un signo de pasión por su belleza. Mientras tanto, se olvida de la promesa hecha a su madre para destruir y degradar a Psique.
Entre las alegorías fantásticas de la mitología griega, quizás una de las más bellas en toda la extensión del discurso es la de Psique y Eros. Comprende esta extensión, como entendemos desde el físico representado por Afrodita, la intelectualidad por Psique y la espiritualidad por Eros.

Sin embargo, lo más fantástico y real es, al mismo tiempo, la transición del desarrollo de la mente, de Psique, a través de algo puramente físico - humano, de la ingenuidad de la infancia a la juventud, conociendo este período experimental. , donde surge la oportunidad de tener confianza en el amor, y una vez que se le opone, entrar en la etapa racional, evaluarla, por la pérdida de confianza en Eros y el despertar. en este precioso estado perdido, ya que por la influencia de la envidia de las hermanas, Psique desconfía de Eros.
Sin embargo, ella va a la etapa de reflexión y lucha por recuperar el amor perdido, u para mantener la unión de espíritu y alma (Psique con Eros). Una vez superada esta prueba, con la legitimación de los dioses, nos damos cuenta del matrimonio de un mortal y un dios para hacer que esta unión sea eterna.
Ella, representada por una joven bella e inteligente, digna del amor de Eros, que por su belleza intelectual se encuentra a la altura de Eros, que representa la belleza espiritual, la más sublime. Psique, que usa tres joyas hechas con elementos abstractos, productos de reflexión, racionalidad, que es el marco para la resolución de problemas. Con la referencia cartesiana, es este conocimiento moderno, que especifica, dimensiona y modela la problemática. Partiendo de la abstracción de las variables, lo que hace posible pensar sobre el objeto y tratar de concretar su conocimiento para un manejo útil. De modo que, eventualmente, mediante el ejercicio y la experiencia, se obtendrá la sabiduría intuitiva, incluso si eso parece ser una intervención simple y fácil, un criterio simple, una solución simple.
Así podemos clasificar las inteligencias: entendemos la inteligencia, como la reacción sistemática acusada de un elemento, obteniendo la mejor y más asertiva posibilidad de solución, antes de la interacción con el entorno.
Inteligencia corporal (El nivel asertivo de decisiones que el cuerpo toma ante las bacterias del virus, los fenómenos del calor ambiental, el frío, el ruido, la luz, los olores, etc.)
Inteligencia mental (la capacidad adecuada para la toma de decisiones que resuelve la psique frente al entorno natural o artificial y la mejor manera de subsistir e integrarse.
En el caso de la inteligencia mental con Psique, especificando la condición de cada joya mencionada anteriormente que permite mostrar los elementos necesarios para que el desarrollo mental sepa: la conciencia (un instinto, una intuición y una sabiduría), representada en el collar que está cerca del corazón, prudencia (un conocimiento y una elección) representada por los pendientes, que se encuentran cerca de las orejas y la perseverancia (una fuerza y ​​una orientación), representada por una corona, que se coloca en la cabeza.

En el caso de la inteligencia espiritual, la mejor manera de actuar del yo para evaluar, recibir y responder a la esencia de los seres humanos, sus sentimientos y emociones, a partir de los valores esenciales como la amabilidad, Amor, lealtad, amistad, misericordia, etc., también como la fuerza o debilidad de estos valores como amistad, lealtad, dignidad. Lo que puede parecer subjetivo para algunos que piensan que la esencia no existe o no es útil, pero nunca es simplemente una cuestión de moralidad, lo que enriquece o empobrece el espíritu humano. Es como el perfume con flores o el fétido olor que puede acompañarlas, solo queda esta inteligencia para elegir. En el contexto de lo humano y lo divino, esta magnífica historia se desarrolla. Un ser humano como Psique, gracias a su belleza intelectual es atractivo y, por lo tanto, apreciado por Eros, enviado para destruir este "espíritu" en parte ingenuo y desagradable a la realidad, obviamente por su juventud, pero Eros lo reconoce como un ser precioso. y no solo eso, aparte de no cumplir con la comisión de su madre de destruirlo, al "reconocer" su valor, él la protege, y por eso le ofrece su confianza.
Sin embargo, frente a la falta de prudencia de Psyche, que comienza a partir de la falta de conocimiento y reflexión, es engañada por las hermanas motivadas por la codicia, que se refleja en la envidia y por exponerse a las mentiras. Pero ella reacciona y se da cuenta del hecho y busca recuperar el amor perdido mediante la perseverancia y la prudencia.
Eros la perdona y le pide a los dioses la legitimidad de su amor a través del matrimonio.
El amor triunfará mientras haya benevolencia e inteligencia. Los malvados son así derrotados por su propia ignorancia.
Como resultado, escuchamos que Él triunfa, Amor (belleza espiritual); la más bella, más fuerte, más sublime, más perfecta, en Psyche (la belleza intelectual) y la protege del odio, la envidia, la más miserable y temible del hombre, como puede ser en este caso, sentimientos negativos. A través de su atracción, belleza intelectual, ha cautivado la belleza espiritual y ambos, reunidos, se levantan a lo más sublime, alejándose de la desgracia y los defectos de la materialidad, para vivir en la eternidad. Fernando Audiffred ©.







Des êtres sans dimension (un Surréalisme Abstrait)


Traduction: Français-Anglais-Italien-Espagnol

Titre: Des êtres sans dimension (un Surréalisme Abstrait)
Auteur: Fernando Audiffred.©copyright.

Nous sommes attentifs à percevoir des marques, des signes ou les symboles, qui nous montrent la définition de l'acteur et ainsi agir. Parce que nous donnions sans recevoir, parce que nous recevions sans mériter, à temps ou à contretemps. Comme savoir ce qui se montre, comme savoir ce qui se cache. Dans un monde où le virtuel, c'est une possibilité, elle n'est évidemment pas, une réalité. Et où est le virtuel ? Dans quel plan ? Puisque l’on passe rapidement, d'un plan virtuel au plan mental et l’on concrétise dans le plan réel ou cette idée, cette image reste dans le néant.
Dans les rêves, beaucoup de choses ressemblent à quelque chose de connu ou vécu, mais elles ne sont pas claires, elles sont quelques fois diffuses autres fois plus imprécises. Comme quand les nuages sont observés, en principe ils suggèrent une forme, mais cette forme est perdue et une autre est générée. Ainsi des personnes, des lions apparaissent, des éléphants, des temples, des rues, des visages, des anges, même des animaux se transforment en des êtres inconnus. Un rêve est une Odyssée, on navigue dans les eaux qui sont des sentiments et émotions qui nous portent aux recoins, aux lieux étrangers, qui disparaissent subtilement pour tout à coup être dans d'autres lieux où nous porte cette barque qui est l'esprit, tout à coup nous sommes déjà dans un autre acte, avec une différente mise en scène. Tout comme dans le Loup des Steppes de Hermann Hesse. Beaucoup de portes apparaissent et une seule est ouverte, dans son intérieur l'obscurité est incertitude, mais tout à coup un parfum connu nous arrive et nous attrape, nous ensorcèle comme le mystère et la beauté, pour entrer à un sentiment inconnu celui que, après s'être déjà réveillé, nous connaissons et nous le cherchons, comme si nous avions déjà acquis un autre sens. Mais ce seul sens est dans la mémoire.
Léonard de Vinci parlait déjà de ces êtres qui habitent dans les veines du bois, dans les veines des marbres, dans la rouille de l’acier, dans les murs oubliés des villages sans nom. Là, ils sont arrêtés, attrapés, "en vivant" ensorcelés d'une telle façon que seulement les identifie quelqu'un qui a ce sens qui permet de les rappeler, parce qu'il les a vus dans ses rêves, parce qu'ils sont déjà connus depuis longtemps et par cela, puisqu’ils sont dans ce plan, maintenant il les reconnaît.
Fernando Audiffred.©copyright.

Title: Beings without dimension (Abstract Surrealism).
Author: Fernando Audiffred. © copyright.



We are attentive to perceiving signals, signs or symbols, that show us the definition of the actor and then to act. For the reason that we were giving without receiving, we were receiving without deserving, in time or at the wrong time. How to know what it is shown? How to know what it hides? In a world where virtual things are a possibility, it is not obviously, a reality. And where the virtual thing is? In what plane we find it? Since we pass rapidly, from a virtual plane to the mental plane and it makes concrete in the real plane or this idea, this image remains in the middle of nowhere.

In dreams, many things look like something known or lived, but they are not clear, they are a few more diffuse, sometimes more imprecise. As when the clouds are observed, at first they suggest a form, but this form is getting lost and other one is generated. In this way, persons, lions, elephants, temples, streets, faces, angels appear, even animals that transform in unknown beings. A dream is an Odyssey, is navigated in waters that are feelings and emotions that take us to spots, to strange places, which finely disappear suddenly to be in other places where we are taken by this boat that is the mind, and suddenly we are already in another act, with a different scenery. This is like the Steppenwolf by Hermann Hesse. Many doors appear and only one is opened, in its interior the obscurity is an uncertainty, but suddenly there comes to us as a known aroma or that catches us, bewitches us like mystery and beauty, to enter to an unknown feeling, the one, that waking up, we already know and we look for it, as if we already had acquired another sense. But this sense is only in the memory.
Leonardo Da Vinci already spoke about these beings that live in the seams of the wood, in the seams of the marble, in the rust of the steel, in the forgotten walls of the villages without name. There, in these places, they are stopped, caught, "living" bewitched in a single form, and they are only identified by someone who has this sense, this one that make him to remind them, because he saw them in his dreams, because they already know each other for a long time and for it, for being in this plane, now he recognizes them.
Fernando Audiffred. © copyright.


Titolo: Esseri senza dimensione (Surrealismo-Abstract).
Autore: Fernando Audiffred © copyright.


Siamo attenti a percepire segni, segni o simboli, che ci mostrino la definizione dell'attore e quindi agiscano. Perché abbiamo dato senza ricevere, perché abbiamo ricevuto senza meritare, nel tempo o nel momento sbagliato. Come sapere cosa viene mostrato, come sapere cosa è nascosto. In un mondo in cui il virtuale è una possibilità, non ovviamente, una realtà. E dov'è il virtuale? Su quale aereo? Mentre passa rapidamente, da un piano virtuale al piano mentale e si concretizza nel piano reale o quell'idea, quell'immagine rimane nel nulla.

Nei sogni, molte cose assomigliano a qualcosa di conosciuto o qualcosa vissuto, ma non sono chiare, a volte sono diffuse, a volte più imprecise. Come quando si osservano le nuvole, in linea di principio suggeriscono una forma, ma quella forma viene persa e un'altra viene generata. Così appaiono persone, leoni, elefanti, templi, strade, volti, angeli, persino animali che diventano esseri sconosciuti. Un sogno è un'Odissea, è navigato in acque che sono sentimenti ed emozioni che ci portano agli angoli, a luoghi strani, che scompaiono sottilmente ad essere improvvisamente in altri luoghi che la barca che è la mente ci porta, e improvvisamente già siamo in un altro atto, con una scenografia diversa. Come nel Steppen Wolf di Hermann Hesse. Molte porte appaiono e solo una è aperta, al suo interno l'oscurità è incertezza, ma improvvisamente arriva un aroma familiare o che ci cattura, ci strega come è il mistero e la bellezza, per entrare in un sentimento sconosciuto, colui che per svegliarci lo sappiamo già e lo cerchiamo, come se avessimo già acquisito un altro senso. Ma quel senso è solo nella memoria.
Leonardo parlava già di quegli esseri che vivono nelle vene del legno, nelle vene di marmo, nella ruggine dell'acciaio, nei muri dimenticati delle persone senza nome. Lì in quei posti sono detenuti, intrappolati, "viventi" incantati in un unico modo, e identificati solo da qualcuno che ha quel senso, che li fa ricordare loro, perché li hanno visti nei loro sogni, perché si conoscono da molto tempo e per questa ragione, essere su quel piano, ora li riconosce.
Fernando Audiffred © copyright.

Título: Seres sin dimensión (Surrealismo-Abstracto).
Autor: Fernando Audiffred.©copyright.


Estamos atentos a percibir señales, signos o símbolos, que nos muestren la definición del actor y así actuar. Porque dábamos sin recibir, porque recibíamos sin merecer, a tiempo o a destiempo. Cómo saber qué se muestra, cómo saber qué se oculta. En un mundo donde lo virtual, es una posibilidad, no obviamente, una realidad. ¿Y en donde está lo virtual? ¿En qué plano? Ya que se pasa rápidamente, de un plano virtual al plano mental y se concreta en el plano real o se queda en la nada esa idea, esa imagen.

En los sueños, muchas cosas se parecen a algo conocido o a algo vivido, pero no son claras, son unas veces difusas otras más imprecisas. Como cuando se observan las nubes, En principio sugieren una forma, pero se va perdiendo esa forma y se genera otra. Así aparecen personas, leones, elefantes, templos, calles, rostros, ángeles, incluso animales que se transforman en seres desconocidos. Un sueño es una Odisea, se navega en aguas que son sentimientos y emociones que nos llevan a rincones, a lugares extraños, que sutilmente desaparecen para de repente estar en otros lugares a los que nos lleva esa barca que es la mente, y súbitamente ya estamos en otro acto, con una escenografía diferente. Así como en el Lobo Estepario de Hermann Hesse. Aparecen muchas puertas y una sola está abierta, en su interior la obscuridad es incertidumbre, pero de repente nos llega un aroma conocido o que nos atrapa, nos hechiza como es el misterio y la belleza, para entrar a un sentimiento desconocido, él que al despertar ya conocemos y lo buscamos, como si ya hubiéramos adquirido otro sentido. Pero ese sentido solo está en la memoria.
Leonardo ya hablaba de esos seres que habitan en las vetas de la madera, en las vetas de los mármoles, en la herrumbre del acero, en las paredes olvidadas de los pueblos sin nombre. Ahí en esos lugares están detenidos, atrapados, “viviendo” hechizados de una sola forma, y solo los identifica alguien que tiene ese sentido, ese que hace que los recuerde, porque los vio en sus sueños, porque ya se conocen desde hace mucho tiempo y por ello, por estar en ese plano, ahora los reconoce.
Fernando Audiffred.©copyright.

Impression "Une vision mentale"


Traduction: Français, anglais, italien et espagnol.


Titre: Impression "Une vision mentale"
Technique : Huile sur papier.
Author: Fernando Audiffred ©copyright.


Le mot impression est un terme et une "réalité" quotidienne, depuis le moment dans lequel un objet, un fait ou une personne, sont connus ; nous avons une image, un produit de l'impression, qui cause le résultat de ce qui est plutôt une appréciation de l'observateur de la condition que l'observé présente. En fonction de ce qu'il capte avec ses sens et compréhension, en incluant l'état d'âme, données ces conditions des attributs et de l'environnement dans lequel il se présente, J'ai pris l'inhérent et l'artificiel ou l'hasard induit ou préjugé, inclus le climat, le son, la couleur, la forme, la texture, structure, etc… Mais le degré de "fidélité" avec lequel il est capté, peut rester loin de la réalité et seulement concevoir une impression très subjective ou bien hautement objective. Déjà Herman Hesse reprochait la déficiente fidélité d'une mélodie écoutée à travers d'un appareil électronique, la même que cela peut être un enregistrement, qui est en réalité une impression, non le son original.

L'impression d’un plat peut visuellement être merveilleuse, il pourrait sembler délicieux. Mais il est très limité dans un goût quand il a été essayé, avec manque de goût et d'harmonie dans les notes, dépourvue d’une clé qui la montre d'une manière singulière. L'incroyable est l'impression que nous avons de soi même, devant un miroir, parce qu'en plus de la qualité du miroir et du lieu où il se trouve, les lumières, les couleurs, les réflexes, l'atmosphère en général. L'image peut être plus acceptable dans les uns plus que dans d'autres miroirs, nous satisfait plus une impression que d’autres, mais en réalité elle peut être loin de l'original, avec peu une fidélité, inclus par peu de sensibilité de notre vue. Et voilà que nous croyons qu'ainsi nous sommes.

Dans la photographie, la chambre simule la capacité visuelle humaine, et capte une impression en dépendant de la qualité de la technologie, mais toutes avec ses erreurs inhérentes, qui sont les déformations angulaires et la capacité de reproduire les clés tonales, les clés chromatiques avec ses lumières, ombres et réflexes, conditionnés au mécanisme, non à l'oeil humain, non plus. Donc l'opérateur doit ajuster cette impression à l'original en dépendant de sa capacité de percevoir les erreurs de l’appareil photo. En raison de cela beaucoup de personnes acceptent de ne pas être photogéniques, et certainement un photographe tien un défi pour obtenir une perception satisfaisante de l'individu.

Dans le cas, d'écouter une voix par téléphone ou dans un enregistrement, ce sont des impressions qui devant la réalité restent plusieurs fois lointaines. Comme une chanson devant un microphone, c'est une impression d’une voix authentique, dans un théâtre devant des éléments acoustiques justes son éclat et originalité conserve la voix. Ainsi l'authentique enregistre dans les conditions spéciales, selon son caractère, sans des bruits, sans des lumières, sans des odeurs, sans des goûts, ou sans la température qui affecte la condition originale.
En tout cas les artistes forment l'impression d'une idée ou bien sa visualisation, quand cela est mental, en considérant qu’elles sont fugaces, il est difficile de rappeler des détails de l'époque, on donne l'intuition qui est déjà générée dans l'idée.
L'impression qu'a formée Van Gogh du temple d'Auvers-sur-Oise, est une impression joyeuse, de fête, avec un caractère fort et consistant, nous pouvons apprécier l'original, et c'est une triste image, avec peu de force et émotivité, alors là il est présent, l'esprit merveilleux de Van Gogh, d'un artiste qui montre un monde qui impressionne profondément. Ainsi il y a des personnes qui expriment des impressions négatives, tristes, pauvres, autres qu'ils magnifient, ils fêtent, ou répriment ou éliminent des aspects importants de l'observé, mais en réalité ce n'est pas une et autre chose, tellement que nous pouvons être positifs dans la grandeur de notre sensibilité. Ou en tout cas, être objectifs ou subjectifs.
Dans cette œuvre, voilà l'image d'une impression personnelle d'une atmosphère, avec un pot de fleurs, une table et un miroir. Les interpénétrations et les lumières sont mêlées pour donner une vision imprécise des plans et en conséquence des objets, se croisent dans l'esprit les formes qui se reconnaissent moyennement et tout à coup c'est déjà une des parties de l'autre objet, mais tout se trouve dans le même plan, bien que dans des point de vue différents. En fait, l'impression est subjective.
Ainsi en général nous écoutons après avoir connu une personne "la première impression c'est celle qui compte", "je me cause une bonne impression", "je laisse une impression mauvaise", peut-être ce sont des expressions un peu diplomatiques, en laissant entrevoir une réalité possible différente, mais nous ne sommes pas sûrs, c'est seulement une appréciation nous ne nous engageons pas à être objectifs, comme attendant que l'impression améliore ou bien change dans le futur, l'information n'est pas suffisante. Pour connaître une personne ou un fait, nous avons besoin de plus d'information, non seulement un impression.
De cette façon, étant donnée cette confusion, il y a toujours des gens qui veulent avoir besoin ou modifier cette image que nous avons d'un fait ou une personne, donnée cette incertitude possible. Mais, comme nous devons avoir confiance en notre perception, puisque d'autres points étrangers (d'autrui) de "vue" apparaissent. Unie à l'impresición initial nous devons charger les impressions d'autres esprits, et les dites impressions peuvent être fausses, grossières, maladives ou envieuses, produit de ressentiments. Nous devons être prudents pour avoir un jugement plus exact. Cherchons toujours une expression authentique du fait ou chez les personnes pour profiter dans une plénitude de l'art et la vie. Fernando Audiffred. © copyright.

Title: Impression "A mental vision".
Technique: Oil on paper.
Author: Fernando Audiffred © copyright.


The word impression is a term and a "reality" every day, from the moment in which an object, a fact or a person is known; we have an image, a product of impression, that causes the result of what is rather an appreciation of the observer, of the condition that presents the observed. Depending on what you grasp with your senses and understanding, including your state of mind, given these conditions of attributes and the environment in which it is presented, take the inherent and the artificial. or induced or prejudiced chance, including weather, sound, color, shape, texture, structure, etc. But the degree of "fidelity" with which it is captured, can stay away from reality and only conceive a very subjective or highly objective impression. Herman Hesse already criticized the poor fidelity of a melody heard through an electronic device, just as it can be a recording, which in reality is an impression, not the original sound.

The impression of a dish can be visually wonderful, it can look delicious. But it is very limited in taste when it has been tasted, with lack of taste and harmony in the notes, without a key that shows it in a singular way. The incredible thing is the impression we have of ourselves, in front of a mirror, because in addition to the quality of the mirror and the place where it is, the lights, the colors, the reflections, the atmosphere in general. . The image may be more acceptable in some than in other mirrors, we are more satisfied with one impression than in others, but in reality it may be very far from the original, with little fidelity, included by a little sensitivity. From our point of view. And now we believe that we are.
In photography, the camera simulates the human visual capacity, and captures an impression based on the quality of the technology, but all with its inherent errors, which are the angular deformations and the ability to reproduce the tonal keys, the chromatic keys with its lights, shadows and reflections, conditioned to the mechanism, neither to the human eye. Therefore, the operator must adjust this impression to the original according to his ability to perceive the errors of the camera. Because of this, many people agree not to be photogenic, and certainly a photographer is a challenge to obtain a satisfactory perception of the individual.
In the case of listening to a voice over the telephone or in a recording, these are impressions that in reality remain several times distant. Like a song in front of a microphone, it is an impression of an authentic voice, in a theater in front of acoustic elements, only its brightness and originality maintain the voice. Thus, the authentic records in special conditions, according to their character, without noise, without lights, without odors, without flavors, or without the temperature that affects the original condition.
In any case, artists form the impression of an idea or its visualization, when it is mental, considering that they are fleeting, it is difficult to remember details of the time, we give the sensation, of what is already generated in the idea.
Van Gogh's impression of the temple of Auvers-sur-Oise is a happy and festive impression, with a strong and consistent character, we can appreciate the original and it is a sad image, with Little strength and emotion, then it is present, the Wonderful spirit of Van Gogh, an artist who shows a world that impresses deeply. So there are people who express negative, sad, poor impressions, others who magnify, celebrate, suppress or eliminate important aspects of the observed, but in reality it is not one and the other, so much so that we can be positive in the greatness of our sensibility. Or in any case, be objective or subjective.
In this work, here is the image of a personal impression of an atmosphere, with a flower pot, a table and a mirror. The interpenetrations and the lights are mixed to give an imprecise vision of the planes and, consequently, of the objects, intersect in the mind the forms that are recognized moderately and suddenly it is already one of the parts of the other object, but everything is in the same plane, although in different points of view. In fact, the impression is subjective.
Then, in general, after having met a person, we heard "the first impression is the one that counts", "It gives me a good impression", "It left a bad impression", maybe they are diplomatic expressions, suggesting a possible reality different, but we are not sure, it is only an appreciation that we do not commit to be objective, since waiting for the impression to improve or change in the future, the information is not enough To know a person or a fact, we need more information, not just an impression.
In this way, given this confusion, there are always people who need or modify this image we have of a fact or a person, in the face of this possible uncertainty. But, as we must have confidence in our perception, since other strange criteria appear, "points of view" (of others). Joined with the initial impression, we must carry the impressions of other spirits, and these impressions can be false, rude, unhealthy or envious, product of the resentments. We must be careful to have a more precise judgment. Always look for an authentic expression of the fact or in people to fully enjoy art and life. Fernando Audiffred. © copyright.



Titolo: Impression "A mental vision".
Tecnica: olio su carta.
Autore: Fernando Audiffred © copyright.


La parola impressione è un termine e una "realtà" ogni giorno, dal momento in cui un oggetto, un fatto o una persona sono noti; abbiamo un'immagine, un prodotto dell'impressione, che causa il risultato di ciò che è piuttosto un apprezzamento dell'osservatore, della condizione che presenta l'osservato. A seconda di ciò che si coglie con i propri sensi e comprensione, incluso il proprio stato mentale, date queste condizioni di attributi e l'ambiente in cui è presentato, prendete l'inerente e l'artificiale. o possibilità indotta o prevenuta, tra cui meteo, suono, colore, forma, struttura, struttura, ecc. Ma il grado di "fedeltà" con cui viene catturato, può stare lontano dalla realtà e solo concepire un'impressione molto soggettiva o altamente oggettiva. Herman Hesse ha già criticato la scarsa fedeltà di una melodia ascoltata attraverso un dispositivo elettronico, così come può essere una registrazione, che in realtà è un'impressione, non il suono originale.

L'impressione di un piatto può essere visivamente meravigliosa, può sembrare deliziosa. Ma è molto limitato nel gusto quando è stato assaporato, con mancanza di gusto e armonia nelle note, senza una chiave che lo mostri in modo singolare. La cosa sorprendente è l'impressione che abbiamo di noi stessi di fronte a uno specchio, perché oltre alla qualità dello specchio e il luogo dove si trova, le luci, i colori, i riflessi, l'atmosfera in generale. . L'immagine può essere più accettabile in alcuni che in altri specchi, siamo più soddisfatti di un'impressione che in altri, ma in realtà può essere molto lontana dall'originale, con poca fedeltà, inclusa da una piccola sensibilità. Dal nostro punto di vista E ora crediamo che lo siamo.
Nella fotografia, la fotocamera simula capacità visiva umana e catturare un'impressione a seconda della qualità della tecnologia, ma tutti con i loro errori propri, che sono deformazioni angolari e la capacità di riprodursi chiave tonale, codici cromatici le sue luci, ombre e riflessi, condizionati al meccanismo, né all'occhio umano. Pertanto, l'operatore deve regolare questa impressione sull'originale in base alla sua capacità di percepire gli errori della fotocamera. Per questo motivo, molte persone sono d'accordo a non essere fotogeniche, e certamente un fotografo è una sfida per ottenere una percezione soddisfacente dell'individuo.
Nel caso di ascoltare una voce al telefono o in una registrazione, queste sono impressioni che in realtà rimangono diverse volte lontane. Come una canzone davanti al microfono, è l'impressione di una voce autentica, in un teatro di fronte a elementi acustici, solo la sua luminosità e originalità mantengono la voce. Così, i record autentici in condizioni speciali, secondo il loro carattere, senza rumore, senza luci, senza odori, senza aromi, o senza la temperatura che influenza la condizione originale.
In ogni caso, gli artisti sono la stampa o la visualizzazione di un'idea quando è mentale, se si considera che sono fugaci, è difficile ricordare i dettagli del tempo, ci sentiamo, di ciò che è già generato nell'idea.
Van Gogh tempio di stampa di Auvers-sur-Oise è un'impressione gioiosa e di festa con un carattere forte e coerente, siamo in grado di vedere l'originale ed è un quadro triste, con poca forza ed emozione, allora è presente, il Meraviglioso spirito di Van Gogh, un artista che mostra un mondo che impressiona profondamente. Quindi ci sono persone che esprimono, triste, impressioni poveri negativi, altri ingrandite, celebrare, sopprimere o eliminare gli aspetti importanti della osservato, ma in realtà non è una cosa e l'altra, in modo che possiamo essere positivi nella grandezza della nostra sensibilità. O in ogni caso, essere obiettivi o soggettivi.
In questo lavoro, ecco l'immagine di un'impressione personale di un'atmosfera, con un vaso di fiori, un tavolo e uno specchio. Compenetrazioni e le luci si mescolano per dare una visione imprecisa degli aerei e, di conseguenza, gli oggetti, si intersecano a mente i modi che riconoscono moderato e improvvisamente è una delle parti di un altro oggetto, ma tutto è in lo stesso piano, anche se in diversi punti di vista. In realtà, l'impressione è soggettiva.
Quindi, in generale, dopo aver incontrato una persona, si sente "la prima impressione è quella che conta", "Mi dà una buona impressione", "Ha lasciato una cattiva impressione" forse espressioni diplomatiche, suggerendo una possibile realtà diverso, ma non siamo sicuri, è solo un apprezzamento che non ci impegniamo ad essere obiettivi, dal momento che aspettiamo che l'impressione migliori o cambi in futuro, l'informazione non è sufficiente Per conoscere una persona o un fatto, abbiamo bisogno più informazioni, non solo un'impressione.
In questo modo, data questa confusione, ci sono sempre persone che hanno bisogno o modificano questa immagine che abbiamo di un fatto o di una persona, di fronte a questa possibile incertezza. Ma, come dobbiamo avere fiducia nella nostra percezione, dal momento che appaiono altri criteri strani, "punti di vista" (di altri). Uniti all'impressione iniziale, dobbiamo portare le impressioni di altri spiriti, e queste impressioni possono essere false, maleducate, malsane o invidiose, prodotto dei risentimenti. Dobbiamo stare attenti ad avere un giudizio più preciso. Cerca sempre un'espressione autentica del fatto o nelle persone per godere appieno dell'arte e della vita. Fernando Audiffred. © copyright.


Título: Impresión "Una visión mental".
Técnica: Óleo sobre papel.
Autor: Fernando Audiffred © derechos de autor.


La palabra impresión es un término y una "realidad" todos los días, desde el momento en que se conoce un objeto, un hecho o una persona; tenemos una imagen, un producto de impresión, que causa el resultado de lo que es más bien una apreciación del observador, de la condición que presenta lo observado. Dependiendo de lo que capte con sus sentidos y comprensión, incluido el estado de ánimo, dadas estas condiciones de atributos y el entorno en el que se presenta, toma lo inherente y lo artificial. o el azar inducido o prejuiciado, incluido el clima, el sonido, el color, la forma, la textura, la estructura, etc. Pero el grado de "fidelidad" con el que se capta, puede mantenerse alejado de la realidad y solo concebir Una impresión muy subjetiva o altamente objetiva. Herman Hesse ya reprochó la escasa fidelidad de una melodía escuchada a través de un dispositivo electrónico, lo mismo que puede ser una grabación, que en realidad es una impresión, no el sonido original.

La impresión de un platillo puede ser visualmente maravillosa, puede verse deliciosa. Pero es muy limitado en sabor cuando se ha probado, con falta de gusto y armonía en las notas, sin una clave que lo muestre de manera singular. Lo increíble es la impresión que tenemos de nosotros mismos, frente a un espejo, porque además de la calidad del espejo y el lugar donde está, las luces, los colores, los reflejos, la atmósfera en general. . La imagen puede ser más aceptable en algunos que en otros espejos, estamos más satisfechos con una impresión que en otros, pero en realidad puede estar muy lejos de la original, con poca fidelidad, incluida por una poca sensibilidad. Desde nuestro punto de vista. Y ahora creemos que somos.
En la fotografía, la cámara simula la capacidad visual humana, y captura una impresión en función de la calidad de la tecnología, pero todo con sus errores inherentes, que son las deformaciones angulares y la capacidad de reproducir las claves tonales, las claves cromáticas con sus luces, sombras y reflejos, condicionados al mecanismo, tampoco al ojo humano. Por lo tanto, el operador debe ajustar esta impresión al original según su capacidad para percibir los errores de la cámara. Debido a esto, muchas personas aceptan no ser fotogénicas, y ciertamente un fotógrafo es un desafío para obtener una percepción satisfactoria del individuo.
En el caso de escuchar una voz por teléfono o en una grabación, se trata de impresiones que en realidad permanecen varias veces distantes. Como una canción frente a un micrófono, es una impresión de una voz auténtica, en un teatro frente a elementos acústicos, solo su brillo y originalidad mantienen la voz. Así, los registros auténticos en condiciones especiales, según su carácter, sin ruidos, sin luces, sin olores, sin sabores, o sin la temperatura que afecta a la condición original.
En cualquier caso, los artistas forman la impresión de una idea o su visualización, cuando es mental, considerando que son fugaces, es difícil recordar detalles de la época, damos la sensación, de lo que es ya generada en la idea.
La impresión de Van Gogh del templo de Auvers-sur-Oise es una impresión alegre y festiva, con un carácter fuerte y consistente, podemos apreciar el original y es una imagen triste, con Poca fuerza y ​​emotividad, entonces está presente, el maravilloso espíritu de Van Gogh, un artista que muestra un mundo que impresiona profundamente. Así que hay personas que expresan impresiones negativas, tristes, pobres, otras que magnifican, celebran, suprimen o eliminan aspectos importantes de lo observado, pero en realidad no es una y otra cosa, tanto que podemos ser positivos en la grandeza de nuestra sensibilidad. O en cualquier caso, sea objetivo o subjetivo.
En este trabajo, aquí está la imagen de una impresión personal de una atmósfera, con una maceta, una mesa y un espejo. Las interpenetraciones y las luces se mezclan para dar una visión imprecisa de los planos y, en consecuencia, de los objetos, intersectan en la mente las formas que se reconocen moderada y repentinamente ya es una de las partes del otro objeto, pero todo está en el mismo plano, aunque en diferentes puntos de vista. De hecho, la impresión es subjetiva.
Entonces, en general, después de haber conocido a una persona, escuchamos "la primera impresión es la que cuenta", "Me da una buena impresión", "Dejó una mala impresión", tal vez sean expresiones diplomáticas, Al sugerir una posible realidad diferente, pero no estamos seguros, es solo una apreciación que no nos comprometemos a ser objetivos, ya que a la espera de que la impresión mejore o cambie en el futuro, la información no es suficiente Para conocer a una persona o un hecho, necesitamos más información, no solo una impresión.
De esta manera, dada esta confusión, siempre hay personas que necesitan o modifican esta imagen que tenemos de un hecho o una persona, ante esta posible incertidumbre. Pero, como debemos tener confianza en nuestra percepción, ya que aparecen otros criterios extraños,  "puntos de vista"(de otros). Unidos con la impresión inicial, debemos cargar las impresiones de otros espíritus, y dichas impresiones pueden ser falsas, groseras, insalubres o envidiosas, producto de los resentimientos. Debemos tener cuidado de tener un juicio más preciso. Siempre buscar una expresión auténtica del hecho o en personas para disfrutar en plenitud del arte y de la  vida. Fernando Audiffred.  © copyright.